23 mai 2007
http://mai68.org/ag/1161.htm
http://cronstadt.org/ag/1161.htm
http://kalachnikov.org/ag/1161.htm
Nous sommes en 2009... La popularité du président ne cesse de grandir. Sur la lancée de ses premiers jours au pouvoir en 2007, M. Sarkosy n'a cessé de servir le peuple qui l'avait élu. Se référant au grand Timonier MAO TSE TOUNG, il a pris comme devise "il faut savoir courir sur ses deux jambes" référence à son activité sportive préférée.
Grâce à son génial enthousiasme il a su faire partager sa passion de la course à pied à l'ensemble de la société. Même les manifestations de soutien à sa géniale politique en faveur des pauvres se terminent la plupart du temps par un hommage au footing libérateur. L'encadrement est d'ailleurs offert à chaque fois à ce peuple qui vient lui rendre grâce de son action quotidienne par la mise à disposition de nombreux cars (Sarkolice en Novlang) qui permettent à la plupart des jeunes d'être rapatriés gratuitement vers les Sarkossariats.
Tout le monde se rappelle encore ses premières mesures et notamment la défiscalisation des heures supplémentaires qui a ainsi permis à de nombreux travailleurs d'échapper à l'impôt sur la fortune, par une utilisation judicieuse du bouclier fiscal.
De même cette première mesure annoncée par le génialissime Darkos (ou Darcos, on se rappelle plus de tous les noms...) sur la fin de la Carte Scolaire dans les établissements scolaires, véritable insulte à tous les jeunes des quartiers défavorisés qui ne pouvaient (sous le régime socialo-chiraquien) même pas venir étudier à Henri IV (situé dans la capitale Sarkoris).
Grâce à l'abandon de ce "casernement obligatoire" qu'était la carte scolaire, la racaille a enfin pu quitter les cités (rappelez vous de la promesse de notre président quelques mois avant les élections : « Vous en avez marre de cette racaille ? on va vous en débarasser ! ») Et il a tenu parole ! Par centaines, les jeunes des banlieues se sont précipités dans les écoles les plus prestigieuses de France...
Malheureusement, et c'est le seul bémol à cette mesure populaire prise pour les populations les plus défavorées, nombre d'entre eux n'ont pas été kiffés par les proviseurs de ces établissements ! ! Ce qu'à immédiatemment dénonçé notre président, fustigeant ces réflexes petits-bourgeois de fonctionnaires repliés sur leurs acquis centenaires... Le peuple l'a bien compris et a ovationné cette déclaration de rupture... Il a bien compris aussi que le président n'y pouvait rien, ayant, comme pour les universités en juillet 2007 décidé l'autonomie totale des lycées et collèges... Mais le peuple ne lui en voudra pas...
D'ailleurs, tout comme son prédécesseur Mittérand, baptisé "tonton" par le peuple, le président Sarkosy est toujours appelé Y (lire i) par son peuple admiratif, petit sobriquet réducteur de son nom qui prouve l'attachement de ses 53% d'admirateurs... D'ailleurs, pour preuve, écoutez bien dans chaque manifestation, les acclamations scandées par la foule idôlatre, écoutez, écoutez, tendez l'oreille : « TOUS POUR Y ! » entend-on. N'est-ce pas une preuve, mécréants marxistes qui doutez encore ?
Vive la révolution : http://www.mai68.org
ou : http://kalachnikov.org
ou :
http://vlr.da.ru
ou :
http://hlv.cjb.net