22 mai 2007 BILDERBERG 2007 ISTANBUL, HOTEL
RITZ CARLTON, DU 31 MAI AU 3 JUIN ! http://mai68.org/ag/1173.htm Cher
Do, à propos de Kouchner, devine dans quelle institution du Nouvel Ordre
Mondial on le retrouve, cette année ? Le CLUB BILDERBERG ! L'article ci-dessous...
Enjoy ! Vic.
TRADUCTION
EN FRANCAIS DE L'ARTICLE DE DANIEL ESTULIN : "Bilderberg 2007: bienvenue
dans la clique des lunatiques" !
Commentaire préliminaire :vous verrez que parmi les noms cités dans tout l'article que je vous ai traduit en français ci-dessous, on ne retrouve qu'à peine 80 membres pour le Bilderberg 2007... (Je vous ai mis en grand les noms auxquels prêter une attention toute particulière... ) OR, LE MEETING AU COMPLET REUNIT TRADITIONNELLEMENT ENTRE 120 ET 130 MEMBRES ! QUI SERONT DONC LES "INVINTES SURPRISE DE DERNIERE MINUTE" ??? Bien entendu, les mêmes démons habituels y seront : Etienne Davignon, la reine Beatrix des Pays-Bas, David Rockefeller, Henry Kissinger, Peter Sutherland... La traduction de l'article, sans plus attendre... BONNE LECTURE, ET BONNE REVOLUTION, SURTOUT ! Vic. Traduction en français de l’article paru originellement en anglais et présent sur : http://www.danielestulin.com/?op=noticias¬icias=ver&id=318&idioma=enBilderberg Bilderberg 2007: bienvenue dans la clique des lunatiques 21-05-2007 En 1954, les homes les plus puissants du monde se rencontrèrent pour la première fois sous les auspices de la couronne royale des Pays-Bas et de la famille Rockefeller dans le luxueux hôtel Bilderberg de la petite ville néerlandaise d’Oosterbeck. Pendant un week-end entier, ils débattirent du futur du monde. Lorsque ce fut fini, ils décidèrent de se rencontrer une fois chaque année afin d’échanger des idées et d’analyser les affaires internationales. Ils prirent eux-mêmes le nom de Club Bilderberg. Depuis lors, ils se sont réunis une fois par an dans un hôtel luxueux quelque part sur la planète afin de décider du futur de l’humanité. En plus de cinquante ans de réunions qui rassemblent sans antécédent connu le pouvoir et l’argent au même endroit et dans le même lieu, jamais aucune information n’a filtré concernant quels sujets étaient abordés durant les réunions du Club Bilderberg. Bilderberg, l’une des organisations secrètes les plus puissantes du monde, est gérée depuis un bureau de 18 m2, avec pour personnel une seule personne utilisant une seule ligne téléphonique et un seul numéro de fax. Elle ne possède pas de page web ni de plaque métallique signalant son nom sur la porte. La presse indépendante n’a jamais été autorisée à y pénétrer, et aucune déclaration n’a jamais été publiée concernant les conclusions des participants, et aucun ordre du jour du meeting Bilderberg n’a jamais été rendu public. Comment, par la grâce de Dieu, ceci peut-il être possible, alors que la liste des membres de l’élite des Bilderberg comprend tous les individus les plus puissants qui gèrent la planète ? Les leaders du Club Bildeberg prétendent que cette discrétion est nécessaire afin de permettre aux participants de parler librement durant les débats sans être enregistrés ou cités publiquement. Sans quoi, déclarent les Bilderbergers, ils seraient forcés de parler dans le jargon d’un communiqué de presse. Sans aucun doute, cette discrétion permet au Club Bilderberg de délibérer plus librement, mais cela ne répond pas à la question fondamentale : de quoi parlent les gens les plus puissants du monde durant ces réunions ? N’importe quel système démocratique moderne protège le droit à la vie privée, mais le public n’a-t-il pas le droit de savoir ce dont ses meneurs politiques parlent lorsqu’ils rencontrent les plus riches leaders de l’industrie de son pays respectif ? Quelles garanties les citoyens possèdent-ils que le Club Bilderberg n’est pas un centre pour le trafic d’influence et le lobby si on ne leur permet pas de savoir ce dont leurs représentants discutent pendant les rassemblements secrets du Club ? Pourquoi les réunions du forum économique mondial de Davos et du G8 sont-elles rapportées dans chaque journal, en première page, avec des milliers de journalistes qui y participent, alors qu’aucun journal ne couvre les réunions du Club Bilderberg, alors que ces réunions voient défiler chaque année les présidents du Fonds Monétaire International, de la Banque mondiale, de la réserve fédérale, les présidents des 100 multinationales les plus puissantes au monde telles que Daimler Chrysler, Coca-Cola, British Petroleum, la Chase Manhattan Bank, American Express, Goldman Sachs, Microsoft, les vice-présidents des USA, les directeurs de la CIA et du FBI, les secrétaires généraux de l’OTAN, les sénateurs et les membres du congrès américain, les premiers ministres européens et les leaders des partis de l’opposition, les éditeurs les plus importants et les PDG des principaux journaux dans le monde ? Il est surprenant que qu’aucun mass média ne considère comme valables de tels personnages, dont les richesses excèdent de loin la richesse combinée des citoyens des Etats-Unis, alors que le voyage de chacun d’entre eux pris séparément fait les gros titres des journaux télévisés. Les délégués à Bilderberg 2007: Istanbul, Turquie, du 31 mai au 3 juin La délégation de cette année comprendra une fois encore tous les plus importants politiciens, industriels, banquiers, commissaires européens et chefs des groupes de presse occidentaux. Ils seront rejoint à la table des débats par les principaux représentants de la royauté européenne, menée par la Reine Beatrix, la fille du fondateur du groupe Bilderberg et ancien nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, ainsi que par le président des Bilderbergers, Etienne Davignon, vice-président du groupe Suez-Tractebel de Belgique. Selon la Bilderberg Steering Committee list à laquelle l’auteur de cet article à accès, les noms suivants ont à présent été confirmés en tant que participants officiels pour la conférence de cette année (par ordre alphabétique) : 1) George Alogoskoufis, Ministre de l’Economie et des Finances (Grèce); 2) Ali Babacan, Ministre des Affaires Economiques (Turquie); 3) Edward Balls, Ministre Economique du Trésor (UK); 4) Francisco Pinto Balsemão, président et PDG d’ IMPRESA, S.G.P.S.; 5) l’ancien Premier Ministre du Portugal José M. Durão Barroso, Président de la Commission européenne (Portugal/International); 6) Franco Bernabé, Vice-président de Rothschild Europe (Italie); 7) Nicolas Beytout, Editeur en Chef du journal Le Figaro (France); 8 ) Carl Bildt, ancien Premier Ministre (Suède); 9) Hubert Burda, éditeur et PDG du Hubert Burda Media Holding (Belgique); 10) Philippe Camus, PDG d’EADS (France); 11) Henri de Castries, président du comité de gestion et PDG d’AXA (France); 12) Juan Luis Cebrian, du Grupo PRISA media group (Espagne); 13) Kenneth Clark, Membre du Parlement (UK); 14) Timothy C. Collins, directeur de gestion principal et PDG de Ripplewood Holdings, LLC (USA); 15) Bertrand Collomb, président de Lafarge (France); 16) George A. David, président de Coca-Cola H.B.C. S.A. (USA); 17) Kemal Dervis, Administrateur de UNDP (Turquie); 18 ) Anders Eldrup, Président de DONG A/S (Danemark); 19) John Elkann, Vice-président de Fiat S.p.A (Italie); 20) Martin S. Feldstein, Président et PDG du Bureau National de la Recherche of Economique (USA); 21) Timothy F. Geithner, Président et PDG de la Federal Reserve Bank de New York (USA); 22) Paul A. Gigot, Editeur du Editorial Page et du Wall Street Journal (USA); 23) Dermot Gleeson, président du AIB Group (Irelande); 24) Donald E. Graham, président et PDG de The Washington Post Company (USA); 25) Victor Halberstadt, Professeur en Economie, de l’université de Leiden; ancien Secrétaire honoraire général des meetings Bilderberg (Pays-Bas); 26) Jean-Pierre Hansen, PDG, Suez-Tractebel S.A. (Belgique); 27) Richard N. Haass, Président du Council on Foreign Relations (USA); 28 ) Richard C. Holbrooke, vice-président de Perseus, LLC (USA); 29 ) Jaap G. Hoop de Scheffer, Secrétaire Général de l’OTAN (Pays-Bas/International); 30) Allan B. Hubbard, Assistant du Président pour la politique économique et Directeur du National Economic Council (USA); 31) Josef Joffe, Editeur du journal Die Zeit (Allemagne); 32) James A. Johnson, vice-président de Perseus, LLC (USA); 33) Vernon E. Jordan, Jr., Directeur de gestion principal de Lazard Frères & Co. LLC (USA); 34) Anatole Kaletsky, Editeur “at Large”, The Times (UK); 35) John Kerr of Kinlochard, adjoint au président de Royal Dutch Shell plc (Pays-Bas); 36) Henry A. Kissinger, président de Kissinger Associates (USA); 37) Mustafa V. Koç, president de Koç Holding A.S. (Turquie); 38 ) Fehmi Koru, écrivain principal de Yeni Safek (Turquie); 39) Bernard Kouchner, Ministre des Affaires Etrangères (France); 40) Henry R. Kravis, Founding Partner, Kohlberg Kravis Roberts & Co. (USA); 41) Marie-Josée Kravis, Senior Fellow du Hudson Institute, Inc. (USA); 42) Neelie Kroes, Commissaire à la Commission, Européenne (Pays-Bas/International); 43) Ed Kronenburg, Directeur du the Private Office du quartier général de l’OTAN (International); 44) William J. Luti, Assistant special au Président pour la politique de la Défense et de la Stratégie, du National Security Council (USA); 45) Jessica T. Mathews, Président, Carnegie Endowment pour la paix internationale (USA); 46) Frank McKenna, Ambassadeur des Etats-Unis, membre du Carlyle Group (Canada); 47) Thierry de Montbrial, Président, Institut Français pour les Relations Internationales (France); 48 ) Mario Monti, Président de l’Université Commerciale Luigi Bocconi (Italie); 49) Craig J. Mundie, Chief Technical Officer Advanced Strategies and Policy de Microsoft Corporation (USA); 50) Egil Myklebust, président du conseil des directeurs de SAS, Norsk Hydro ASA (Norvège); 51) Matthias Nass, Editeur adjoint du journal Die Zeit (Allemagne); 52) Adnrzej Olechowski, Meneur de la plateforme civique (Pologne); 53) Jorma Ollila, président de Royal Dutch Shell plc/Nokia (Finlande); 54) George Osborne, Chancellier de l’ombre de l’Exchequer (UK); 55) Tommaso Padoa-Schioppa, Ministre des Finances (Italie); 56) Richard N. Perle, Resident Fellow de l’American Enterprise Institute for Public Policy Research (USA); 57) Heather Reisman, président et PDG d’Indigo Books & Music Inc. (Canada); 58 ) David Rockefeller (USA); 59) Matías Rodriguez Inciarte, vice-président executive du Grupo Santander Bank, (Espagne); 60) Dennis B. Ross, Directeur de l’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient (USA); 61) Otto Schily, ancien Ministre des Affaires Intérieures; Membre du Parlement; Membre du Comité des Affaires Etrangères (Allemagne); 62) Jürgen E. Schrempp, ancient président du conseil de gestion de DaimlerChrysler AG (Allemagne); 63) Tøger Seidenfaden, Editeur en chef exécutif de Politiken (Danemark); 64) Peter D. Sutherland, président de BP plc et président de Goldman Sachs International (Irlande); 65) Giulio Tremonti, Vice-Président de la Chambre des Députés (Italie); 66) Jean-Claude Trichet, Gouverneur de la Banque centrale européenne (France/International); 67) John Vinocur, Correspondant principal de l’International Herald Tribune (USA); 68 ) Jacob Wallenberg, président de Investor AB (Suède); 69) Martin H. Wolf, Editeur associé et commentateur économique pour The Financial Times (UK); 70) James D. Wolfensohn, Special Envoy pour le désengagement de la bande de Gaza (USA); 71) Robert B. Zoellick, Secrétaire d’Etat adjoint (USA); 72) Klaus Zumwinkel, président du conseil de gestion de Deutsche Post AG (USA); 73) Adrian D. Wooldridge, Correspondant étranger pour The Economist. Parmi les noms qui apparaissent sur la liste initiale des invites à laquelle ce journaliste (Daniel Estulin) a eu accès en janvier 2007 ressortent les noms de John Browne, le PDG à présent tombé en disgrâce de British Petroleum et de l’ancien chef (tombé en disgrâce puis viré) de la Banque mondiale, Paul Wolfowitz. IL sera intéressant de voir si l’un de ces deux hommes fera son apparition à Bilderberg 2007. Les Bilderbergers n’ont aucun problème à accepter des criminels dans leur bande aussi longtemps que leur méfaits sont écartés de l’attention et de l’examen du public. Une fois que leurs méfaits sont exposés, les coupables, sont généralement éloignés. Lord Conrad Black, ancien PDG du Hollinger media group, est un cas d’école. Deux autres noms sur la liste originelle de janvier 2007 devraient nous faire sourciller. L’un d’eux est Bernard Kouchner, le Ministre des Affaires Etrangères nouvellement nommé dans l’aile droite du gouvernement Sarkozy en France. Kouchner est un ancient fondateur de l’ONG Médecins Sans Frontières. Il fut absent du Bilderberg 2006 à Ottawa, Canada. Sa position au sein du gouvernement pourrait-elle avoir été arrangée avant les élections nationales françaises ? En ce qui me concerne, le recompense de l’apparition surprise de l’année devrait aller à Mahmood Sariolghalam, Professeur associé des Relations Internationales, de l’Ecole d’Economice et des Sciences politiques de l’Université Nationale de l’Iran.Que fait un iranien à une conférence Bilderberg contrôlée par l’alliance de l’OTAN ? Nous le saurons suffisamment tôt. Bilderberg 2007 est en effet un bon moment pour regarder ce qui se passé en coulisse. De quoi parlera-t-on à Bilderberg 2007 ? En dehors du pétrin irakien, les problèmes énergétiques continuent de dominer les discussions des dominate Bilderbergers . L’essence et le gaz naturel sont des sources limitées, non renouvelables. Car une fois usées, on ne peu plus en reproduire. Au fur et à mesure que le monde tourne, et au fur et à mesure que les sources en essence et en gaz naturel diminuent alors que la demande augmente dramatiquement, spécialement avec les économies indienne et chinoise en plein boom et qui veulent toutes les bibelots et les privilèges de l’American way of life, nous, en tant que planète, avons dépassé la limite de la production et de la découverte d’essence. Désormais, la seule chose qui est certaine est que les ressources continueront de diminuer et que les prix vont continuer d’augmenter. Dans ces conditions, un conflit mondial est une certitude physique. La fin de l’essence signifie la fin du système financier mondial, une chose qui a déjà été reconnue par le Wall Street.Journal et le Financial Times, deux membres à plein temps du cercle interne des Bilderbergers. Le rapport sur l’essence de Goldman Sachs, [un autre membre à plein temps de l’élite Bilderberger ] publié le 30 mars 2005, augmentait le prix moyen du prix de l’essence pour l’année 2005-2006 de $55 à $80 par baril à $55 à $105 par baril. Durant leur réunion de 2006, les Bilderbergers ont confirmé que leur estimation à court terme du prix de l’essence pour 2007-2008 continue de tourner autour de $105 à $150 par baril. Pas étonnant que Jose Barroso, Président de la Commission européenne, ait annoncé il y a plusieurs mois durant la divulgation de la nouvelle politique énergétique européenne que le temps est venu pour un « âge post-industriel ». Afin d’amener le monde dans cet âge post-industriel, vous devez d’abord détruire la base économique mondiale et créer une autre Grande Dépression. Lorsque les gens sont pauvres, ils ne dépensent pas d’argent, ils ne voyagent pas, et ils ne consomment pas. Note de Vic : et aussi, ils sont contrôlables plus facilement et ils meurent aussi beaucoup plus vite (de faim, de froid, de pauvreté, de maladie puisqu'ils ne peuvent plus acheter leurs médicaments ! Dépopulation = objectif n°1 du N.O.M., ne l'oublions jamais ! ) Au fur et à mesure que l’impact économique s’enfonce, et au fur et à mesure que le Pic de l’Essence devient évident face au déclin de la civilisation, les Etats-Unis seront obligés de défier l’Europe, la Russie et la Chine pour l’hégémonie du contrôle et pour les réserves en hydrocarbure toujours moindres et non renouvelables, dont la plupart se trouvent au Moyen-Orient. Ce sera le point numéro deux à l’ordre du jour de Bilderberg 2007. Le troisième point à l’ordre du jour concerne les relations européennes avec la Russie, pas seulement en Europe, mais aussi en Asie Centrale. Avec Moscou qui a conclu un marché avec le Kazakhstan et le Turkménistan concernant le transport de gaz vers l’Europe, le but géostratégique des Etats-Unis visant à driving a wedge entre les pays d’Asie centrale et la Russie est réduit en pièces. Alors que les USA disent qsue « cela n’est pas bon pour l’Europe » , les Européens sont divisés. L’Iran, en l’espace d’une nuit, est devenu le dernier espoir de l’Amérique dans la guerre énergétique. La guerre en Iran, après deux ans de menaces et de tempêts sous le gouvernement Bush est définitivement hors de la table. De plus, avec la France, la Russie, le Japon et la Chine qui investissent lourdement en Iran, le monde a tracé une ligne dans le sable et on dira aux Etats-Unis lors de la conférence de ne pas la franchir. Il y a du sang dans l’eau, et généralement le sang dans l’eau mène à une bonne bagarre. Ceci dit, les USA doivent contrôler la région, non seulement pour ses réserves en essence mais, surtout, afinde pouvoir maintenir son hégémonie économique mondiale. Sous ce schéma stratégique, les états de la région seront transformés en de faibles domaines appartenant à des sheikhs sectaires ayant peu ou pas de souveraineté et, par implications, ayant un pathétique agenda de leur développement économique. Le chaos dans cette région favorise l’étendue du fondamentalisme islamiste, ce qui, à son tour, renforce le processus de désintégration politique et sociale soutenu par les Bilderbergers. Avec Blair qui s’en va, on dira encore au Royaume-Uni qu’il doit, à tout prix, faire ce qui est nécessaire afin d’intégrer son territoire dans la Communauté européenne. Finalement, avec Wolfowitz qui démissionne de la Banque mondiale, les luminaries de Bilderberg tenteront de parvenir à un consensus sur la meilleure façon de on how best to overhaul non seulement la banque, mais aussi son organisation soeur, le Fonds Monétaire International (FMI), mené par un Espagnol, Rodrigo Rato. Wolfowitz a été touché de plein fouet par la controverse il y a sept semaines après que les tireurs d’alarme de la Banque mondiale aient laissé fuir vers l’ONG basée à Washington et nommée « Government Accountability Project » (GAP) des documents qui montraient que Wolfowitz avait poussé pour une forte augmentation en faveur de sa petite amie auprès du Département d’Etat US. Nous, en tant que société, sommes arrives à un carrefour. A presque chaque coin de la planète, les points sensibles commencent à se fracturer. Les chemins que nous prenons à partir d’ici détermineront le futur de l’humanité. Ce fut l’ancien Premier ministre britannique, Benjamin Disraeli, qui déclara que “le monde est gouverné par des personnages très différents de ce que ceux qui ne sont pas en coulisse s’imaginent.” Ce n’est pas à Dieu de nous sauver du “Nouvel Age Sombre” qui a été planifié pour nous. C’EST A NOUS. Que nous nous dirigions au prochain siècle vers un état policier mondial et électronique ou comme des êtres humains libres ne dépend que de l’action que nous prenons maintenant. Un homme averti en vaut deux. Nous ne trouverons jamais les bonnes réponses si nous ne posons pas les bonnes questions. __________________________ Salut ! Merci pour cette traduction. Je vais la mettre sur mon site, mais je mettrai des commentaires car certaines phrases de l'auteur me semblent bien naïves. Par exemple, comment peut-il croire que c'est à cause de son immoralité que Wolfowitz s'est fait virer ? ! C'est bien sûr seulement une excuse pour le grand public. Extrait du texte cièdessus : « La fin de lessence signifie la fin du système financier mondial, une chose qui a déjà été reconnue par le Wall Street » Il y aura peut-être du changement, mais cela ne changera pas grand chose pour nous et en aucun cas cela ne fera (en soi) disparaître l'exploitation de l'homme par l'homme. « La presse indépendante na jamais été autorisée à y pénétrer, et aucune déclaration na jamais été publiée concernant les conclusions des participants, et aucun ordre du jour du meeting Bilderberg na jamais été rendu public. Comment, par la grâce de Dieu, ceci peut-il être possible, alors que la liste des membres de lélite des Bilderberg comprend tous les individus les plus puissants qui gèrent la planète ? » Question : comment l'auteur a-t-il fait pour obtenir la liste des participants et les sujets de discussion ? le sais-tu ? 24 mai 2007 __________________________ Cher Do, __________________________ Note de do : Normalement il aurait fallu le lire avant tout ce qu'il y a ci-dessus, mais j'ai préféré le mettre maintenant : BILDERBERG 2007 : ISTANBUL (TURQUIE), DU 31 MAI AU 3 JUIN ! Chers amis, __________________________
BILDERBERG
2007 : ISTANBUL, HOTEL RITZ CARLTON, DU 31 MAI AU 3 JUIN 2007 ! 29 mai 2007 __________________________ Jeudi 14 juin 2007 Cher do, Liste OFFICIELLE des personnes ayant participé au Bilderberg 2007 : http://mai68.org/ag/1173/bilderberg-list.pdf Remarque de do : Et si la liste officielle n'était rien de plus que le mensonge officiel ? __________________________ Lire aussi l'article ci-dessous : |
Vive la révolution : http://www.mai68.org
ou : http://kalachnikov.org
ou :
http://vlr.da.ru
ou :
http://hlv.cjb.net