Heureusement que vous, les vieux stals de la CGT et du P"C"F, n’étiez pas là le 14 juillet 1789 ; sinon, vous auriez aidé les flics et les militaires à tuer les jeunes gavroches. Et il n’y aurait jamais eu de révolution.

Yalta

Quand il y avait encore l’URSS, les accords de Yalta pouvaient justifier que les cocos empêchent toute tentative de révolution de réussir en France. Puisque ça faisait partie des accords de Yalta.

Ces accords disaient que les Américains ne tenteraient pas de contre-révolution à l’Est à condition que les communistes ne tentent pas de révolution à l’Ouest. Et réciproquement.

On sait comment ça a terminé :

Les communistes, ces cons, ont respecté les accords de Yalta ; et les cows-boys, comme à chaque fois qu’ils ont signé des traités de paix avec les Indiens, les ont trahis : il n’y a plus d’URSS !

Justement, il n’y a plus d’URSS ! Et, en Plus, c’est parce que ce sont les Amerloques qui n’ont pas respecté les accords de Yalta pour lesquels vous, les vieux stals de la CGT et du P"C"F, vous nous avez empêché de faire la révolution en mai 68.

Il n’y a plus d’URSS, donc les accords de Yalta n’ont plus cours.

Mais, comme de vrais cons. Comme de petits robots complètements abrutis que vous êtes, vous, les vieux stals de la CGT et du P"C"F, vous continuez à vouloir nous empêcher de faire la révolution.

le 14 juillet 1789 fut une émeute qui a réussi ; mais, vous mettez tout en oeuvre pour nous empêcher de réussir la révolution aujourd’hui, en réprimant nos belles tentatives d’émeutes. Tout ça par habitude. Car vous avez pris l’habitude, à l’époque de Yalta, de nous empêcher de réussir la révolution…

Et vous n’avez pas perdu cette sale habitude. Vous continuez, alors qu’il n’y a plus aucune URSS à sauver par un stupide respect d’accords que nos ennemis communs ont trahis.

Merde, vous faites chier. Quand donc comprendrez vous ?

Yalta c’est fini !

Maintenant, vous n’avez plus d’accords à respecter, vous n’avez plus à nous empêcher de faire la révolution. Et vous avez même le devoir d’y participer. Si vous venez, je cesse de vous insulter, et je vous dis que vous êtes les bienvenus.

Sinon, nous devrons vous abattre pour enfin avoir la possibilité d’abattre le capitalisme.

Dans quel camp êtes-vous ?

Choisissez !