25 avril 2005
NON à la constitutio européenne !
Cher tous,
Je pense, tout comme vous, n’avoir besoin ni de dieu, ni de maître.
La question à se poser est la suivante : comment, si nous n’avions plus de loi pourrions nous lutter efficacement contre le tout pognon, à qui une grande partie de la population voue un culte immense.
Nous devons montrer l’exemple ! Notre jeunesse et notre idéalisme sont souvent considéré par nos aînés comme de l’utopie, quelle honte peut-on avoir à espérer, c’est nous aujourd’hui qui devons construire notre avenir, en montrant au monde que l’alternative est possible en sortant de chez nous en convaincant, en luttant et militant et surtout en oubliant personne.
Nous devons montrer aux patrons que l’économie n’est pas contradictoire avec le respect de la personne humaine. A quoi sert-il de lutter si nous ne construisons pas l’alternative.
Ce vote du 29 mai est pour nous l’occasion d’organiser la résistance. C’est la première fois qu’on nous demande notre avis sur cette Europe, dont le début de la construction remonte à 50 ans.
Nous devons parler, aujourd’hui où jamais, le peuple européen nous regarde avec attention, cessons de nous faire croire que l’on sera le mouton noir. Ce n’est pas le peuple européen qui ne comprend pas notre conviction à voter NON, ce sont les dirigeants qui ont peur, peur de ne plus pouvoir asseoir leur politique libéraliste dans la durée.
L’heure à sonner. Nous avons le devoir pour les générations futures de stopper cet élan pognonniste. Je souhaite vivement que tous les chômeurs, tous les précaires, mais aussi tous les anarchistes se déplacent pour voter, pour voter Non, à cette constitution qui baffoue le peuple qui va en bénéficier. C’est le moment je pense, de ravaler toutes nos paroles, sur le fait que nous ne votions pas. Nous allons voter ……. Et nous allons voter NON, ce referendum est une chance, montrons leur que nous savons nous aussi nous rassembler.
MERCI
Julien
________________
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
RÉPONSE de do :
À la question : « comment, si nous n’avions plus de loi pourrions nous lutter efficacement contre le tout pognon, à qui une grande partie de la population voue un culte immense. »
Dans une société révolutionnaire, il n'y a plus de lois (par définition même de l'anarchie), mais, aussi, ils n'y a plus d'argent ! Donc, le problème ne se poserait pas.
Vive la révolution : http://www.mai68.org
ou : http://perso.cs3i.fr/do
ou :
http://vlr.da.ru
ou :
http://hlv.cjb.net