1 février 2006
11 SEPTEMBRE 2001
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La grande presse américaine semble commencer à dénoncer elle aussi les manipulations du 11 septembre 2001. C'est le cas du Miami Herald Tribune dont voici un article traduit en français par Didier. Merci à lui pour la traduction.
http://mai68.org/ag/925.htm
  http://kalachnikov.org/ag/925.htm
  http://www.chez.com/vlr/ag/925.htm
  Original 
  link in english
ROBERT STEINBACK (1)
    J’avais 
  8 ans lorsque le Président John Kennedy fût assassiné à Dallas en 1963. 
  Si Dieu me prête vie, j’en aurai 62 lorsque les documents relatifs à son assassinat 
  seront communiqués au public, et 84 quand les fichiers de la commission Warren 
  relatifs à l’investigation sur cette tragédie seront finalement ouverts.
    C’est 
  une bien longue période à attendre pour avoir une chance d’évaluer la vérité 
  qui nous sera alors proposée.
    C'est 
  insulter le raffinement présumé du peuple américain de prétendre 
  qu'un quelconque aspect d'un événement si dramatique et choquant doive lui être 
  caché. Peut-être est-il vrai que nous ne sommes pas capables d’appréhender la 
  vérité. Mais, il ne peut pas y avoir de résolution véritable tant que des informations 
  à ce point critiques restent inaccessibles.
Transformé 
  par le 11 septembre
    Depuis 
  l’assassinat de Kennedy, les Américains n'ont cessé d'osciller entre 
  l'exigence de connaître et la capacité à entendre : Les affaires du Pentagone, 
  My Lai (2), l’assassinat de Martin Luther King, le 
  Watergate,  l’Irangate (3), la débâcle des caisses 
  d’épargne, Monicagate. Récemment, toutefois, il semblerait que le verdict du 
  public soit : Ne nous dites rien. Laissez-nous dans le noir. Nous ne voulons 
  pas savoir.
    C’est 
  aujourd'hui le pire moment pour se laisser aller à la phobie de l’investigation. 
  Notre nation a été irréparablement transformée par le 11 septembre – mais 
  il reste encore des questions préoccupantes à propos de ce qui s’est 
  vraiment passé avant, pendant et après ce jour. Plutôt que d'exiger une vérification 
  entière et sans crainte de la vérité et des silences à propos du 11 septembre, 
  beaucoup d'Américains préfèrent ne pas regarder fixement dans le microscope.
    Une 
  industrie artisanale de théoriciens « en ligne », de « debunkers » (4) 
  de théories et de contre-« debunkers », a fleuri depuis le 11 septembre 2001. 
  Parfois, les théories fragiles sont faciles à débusquer – allez, si les 
  quatre avions de ligne ne se sont pas écrasés là où ils le firent apparemment, 
  où sont-ils passés ? Mais le plus souvent, cependant, ce n'est pas aussi 
  évident.
    Un 
  groupe d’experts et d’académiciens déterminés à appliquer des principes de raisonnement 
  scientifique face aux preuves apparentes, "laissant tomber les pièces 
  du puzzle là où elles doivent tomber", a, la semaine dernière, accusé 
  le gouvernement de dissimuler les preuves que les trois tours détruites à New 
  York l’ont été par une démolition contrôlée plutôt que par une défaillance de 
  la structure. Ce groupe, appellé les « Disciples pour la vérité sur le 
  11 septembre » possède un site web : www.st911.org
Des 
  questions sans réponses
    La 
  première réaction réflexe est l’incrédulité (« comment, se demande-t-on, 
  quelqu’un pourrait-il ne serait-ce que contempler froidement un acte aussi barbare ? ») 
  Mais, avant de vous fermer à cette hypothèse, vérifiez les éléments : ceux-ci 
  ne sont pas issus de dégénérés subsistant avec des pommes chips et une PlayStation. 
  Alors, regardez les éléments qu’ils proposent.
    « Je 
  suis un philosophe de profession qui a passé 35 ans à enseigner la logique, 
  la pensée critique et le raisonnement scientifique », m’a déclaré James 
  H. Fetzer, co-fondateur du groupe et professeur à l’Université du Minnesota. 
  « Quand j’en viens au 11 septembre, il n’est pas difficile pour moi 
  de voir ce qu'il s’est passé. C’est une question scientifique. Et c’est tellement 
  élémentaire que je ne pense pas que vous puissiez trouver un seul physicien 
  qui ne serait pas d'accord avec l’idée que ce fût une démolition contrôlée ».
    Le 
  groupe demande, par exemple :
    • Comment 
  a fait un feu, nourri par le combustible d’un jet, qui brûle au plus à 1700 
  degrés Fahrenheit (+/- 930 degrés Celsius), pour provoquer l'effondrement des 
  Twin Towers construites avec de l'acier qui fond à 2800 degrés (1260 degrés 
  Celsius) ? (La plupart des experts sont d’accord avec le fait que l’impact 
  d’avions de ligne, construits principalement en aluminium de masse assez faible, 
  n’auraient pu causer à eux seuls une telle défaillance structurelle). Comment 
  la simple charge en fuel d’un avion de ligne – dont la plus grosse partie 
  a brûlé lors de l’impact – a pu causer l’effondrement de la tour sud du 
  World Trade Center en 56 minutes ?
    • 
  Pourquoi la tour n°7 s’est-elle effondrée, alors qu’aucun avion ne l’a touchée ? 
  Le feu seul n’a jamais causé l’effondrement d’un gratte-ciel.
    • 
  Pourquoi les 3 buildings sont-ils tombés comme ils l’ont fait, d'une façon 
  aussi rectiligne, comme lors d’une démolition controlée ?
    • 
  Pourquoi l’aviation militaire US n’a-t’elle pas tenté d’intercepter les avions de 
  ligne ?
    • 
  Pourquoi n’y a-t-il eu aucune enquête après que la BBC ait mentionné que 5 des 
  supposés pirates de l’air étaient bien vivants et qu’ils ont été rencontrés 
  après les événements ?
    Notre 
  phobie de l’investigation est due en partie au paysage politique. Quand un seul 
  parti détient toutes les cartes, toute tentative d’investigation sur un éventuel 
  abus de pouvoir ou sur une dissimulation (et ce, quelle que soit sa validité), 
  sera considérée comme une vendetta partisane. Ceux au pouvoir n’enquêteront 
  jamais sur eux-mêmes.
    Peut-être 
  que c’est ça la politique : ceux qui ont le marteau guident les clous. 
  Mais l’outrage du 11 septembre transcende l’affiliation à un parti.
    Nous 
  avons besoin de connaître les réponses à ces questions exceptionnelles – "peu 
  importe où les morceaux tomberont" [Quelles que soient les réponses !].
Notes Du Traducteur :
(1) Robert Steinback a travaillé pour le Miami Herald depuis 1983. Chroniqueur depuis 1990, il a aussi accueilli deux émissions radio, un programme d'interview de télévision et nombreuses émissions municipales. Il a été diplômé en économie en 1977 à l'Université de Rochester, et en 1983 de l'Université du Nord-ouest, où il a reçu son diplôme de "Master" dans le journalisme. Il est originaire de New York
(2) le 16 mars 1968, massacre de villageois au Vietnam. cf. http://www.monde-diplomatique.fr/2002/09/A/16913c)
(3)     
  http://en.wikipedia.org/wiki/Iran-Contra_Affair
(4)     
  Debunk : composé de “de”, préfixe signifiant « enlever » et de “bunk”. 
  Le mot « bunk » vient de l’endroit où de nombreux boniments ont été 
  proférés, le Congrès des Etats-Unis. Durant le 16ème cCongrès (1819-1821) 
  Felix Walker, un élu de Caroline du Nord, dont le district incluait le comté 
  de Buncombe, fit un discours particulièrement ennuyeux et morne face aux protestations 
  de ses collègues. Walker a expliqué plus tard qu’il s’était senti obligé de 
  faire un discours en faveur de Buncombe. Un tel symbole de langue de bois et 
  de discours vide ne pût être ignoré, et Buncombe (Bunkum dans sa première appelation) 
  a donné bunk, synonyme de boniment.
Remarque 
  du traducteur : Voir aussi un dossier sur le sujet ici :
http://www.choix-realite.org/?11-septembre-2001-wtc-quelques-donnees
Vive la révolution : http://www.mai68.org
                    
      ou : http://kalachnikov.org
             ou : 
  http://vlr.da.ru
                ou : 
  http://hlv.cjb.net