" Le gouvernement américain savait à l’avance qu’il allait devoir affronter une situation critique "


par Sherman H. Skolnick, 11 septembre 2001


L’Amérique a son propre " incendie du Reichstag " 

La CIA américaine était au courant, une semaine à l’avance au moins, des plus impressionnantes attaques prétendument " terroristes " perpétrées sur le sol américain depuis l’attentat à la bombe d’Oklahoma City. Au nombre des services de renseignements étrangers à avoir éventé ces complots figuraient les services de contre-espionnage français et le Mossad israélien, dont des unités ont souvent l'occasion de travailler ensemble.

Les sources des renseignements étrangers confirment la validité de cette histoire. Et elles affirment avoir informé la police secrète américaine qui, non seulement, négligea, mais refusa de but en blanc d’entreprendre la moindre action quant à des faits précis, connus d’avance, d’ailleurs, par les hautes instances de la CIA.

Parmi les renseignements transmis à la CIA, figurent ces détails, entre autres :

[1] A la fin de la guerre du Golfe, en 1991, George Herbert Walker Bush, en sa qualité de président, fit en sorte d’amener aux Etats-Unis quelque quatre mille officiers de l’armée irakienne, dont certains appartenaient à des unités de renseignements, et leurs familles.

[2] Quelque 550 de ces officiers furent installés à Lincoln, Nebraska, ET DEUX MILLE D’ENTRE EUX à Oklahoma City. Dans une version passablement édulcorée de l’affaire, l’émission " 60 minutes " de la CBS présenta une séquence à ce sujet, à propos de Lincoln, Nebraska, mais ne dit ABSOLUMENT RIEN sur la présence des officiers irakiens à Oklahoma City.

[3] Le soutien financier et autre à ces officiers et leurs familles fut organisé par George Bush l’aîné et se poursuivit comme si de rien n’était sous la présidence de Bill Clinton ainsi que sous celle de George W. Bush, actuel " résident " et " locataire " de la Maison-Blanche. Ces dispositions comprenaient des subsides financiers, le logement ainsi que des emplois pour les officiers irakiens.

[Une brave journaliste de télévision d’Oklahoma City, Jayna Davis, diffusa sur les ondes de sa station plusieurs histoires à propos de la connexion irakienne dans l’attentat à la bombe contre l’Alfred P. Murrah Building, attentat perpétré avec la complicité de dissidents intérieurs. Un groupe paya la chaîne de télévision pour qu’on fasse taire la journaliste. Au nom de son client, le principal conseiller à la défense de Timothy McVeigh à son procès pour homicide, déposa une requête extraordinaire auprès du tribunal de haute instance, juste avant le début du procès. En vain, Jones tenta de contraindre le juge du district de Denver, Richard Marsch, de forcer la CIA américaine à restituer des documents en sa possession et confirmant qu’elle était au courant à l’avance de l’attentat à la bombe, comme le confirmaient d’ailleurs d’autres documents connus, dont certains figuraient, soit dit en passant, dans des minutes secrètes de tribunaux. Nous disposons d’une copie de la requête de 185 pages présentée par Jones à la 10e circonscription de la Cour d’Appel des Etats-Unis, requête presque unanimement ignorée par la presse monopoliste américaine. Cette requête fait elle aussi état de la connexion irakienne.]

[4] Les services de renseignements étrangers ont informé la CIA américiane que des armes à feu allaient être planquées à bord d’une dizaine au moins de vols commerciaux américains. Ceci devait être fait par des membres des services de nettoyage des avions, lesquels, généralement, ne sont pas soumis aux mesures de sécurité en vigueur dans les aéroports. Il est très vraisemblable que ces travailleurs n’étaient même pas au courant des buts visés dans la pose de ces armes dans les appareils.

[5] La CIA a également été informée, bien avant les attentats " terroristes " prévus pour le Jour d’Urgence " 911 " (9 pour septembre, 11 pour le jour des attentats), que des pilotes irakiens hautement qualifiés, figurant au nombre des quatre mille officiers irakiens résidant aux Etats-Unis, allaient s’emparer de ces vols commerciaux en récupérant les armes dissimulées à bord et en se rendant maîtres ensuite du poste de pilotage.

[6] Bush Senior, Clinton et George W. Bush étaient tous en mesure de savoir que les officiers irakiens qu’ils entretenaient devaient comprendre nombre d’agents doubles. La Division du Contre-Espionnage du FBI, en aucun moment, ne reçut l’ordre de faire quoi que ce soit contre ces agents doubles susceptibles de commettre des délits, des crimes et de provoquer des dégâts sur le sol américain.

[7] Comme je l’ai révélé un semaine avant les attentats " terroristes ", certains réseaux de télévision étrangers étaient occupés à préparer de substantiels documentaires qui allaient passablement scandaliser George W. Bush et d’autres membres de la famille Bush, y compris l’ancien président George Bush et Jeb Bush, frère de l’actuel président. Le contenu de ces reportages traitaient entre autres de la façon dont 40 millions de dollars, sommes prélevées sur des fonds émanant du trafic de drogue, avaient été utilisés, paraît-il, par la famille Bush pour corrompre les DEMOCRATES du Sud de la Floride et les inviter à laisser tomber le recomptage du scrutin un peu avant que la Cour Suprême des Etats-Unis n’installe George W. Bush en tant que " résident " et " locataire " de la Maison-Blanche. Les fonds en provenance de la drogue avaient été fournis, paraît-il, par le partenaire en affaires de la famille Bush, Carlos Lehder, cofondateur du fameux cartel américano-colombien de la drogue de Medellin. [Consultez l’article sur notre site web intitulé " Chandra Levy Affair, Part Two "(L’affaire Chandra Levy, 2e partie).] J’ai commenté ces faits au cours de débats radiophoniques.

[8] Dans le cadre du choix des gratte-ciel du World Trade Center comme cibles des attentats, un groupe de complices opérant pour le compte des officiers irakiens, affirme-t-on, ont passé un temps considérable à l’intérieur de l’un des buildings, sans que les fonctionnaires responsables de la sécurité des bâtiments ne soient conscients de leur présence.

[9] Comme les hauts responsables de la CIA en avaient été préalablement informés, le but des attentats "terroristes" était de paralyser avec le maximum d’effcicacité l’infrastructure financière des Etats-Unis. Quelques-unes des agences boursières et immobilières les plus importantes de la planète, en même temps que leurs spécialistes les plus précieux avec leurs connaissances internes, leurs astuces du métier et leur savoir-faire pour ainsi dire irremplaçable, étaient installés dans les tours jumelles du WTC de New York City, dont on savait à l’avance qu’elles allaient être prises pour cibles. L’opération allait revenir à faire sauter la principale " usine à fric " du monde et à détruire ses installations et données. Les prétendus documents de " sauvegarde " conservés de l’autre côté du fleuve Hudson, dans le New Jersey, sont non seulement inefficaces et très incomplets, mais ne peuvent en aucun cas aider à reconstituer les divers comptes et transactions des tâches de ces firmes.

Les experts financiers nous disent que les documents de " sauvegarde " stockés dans le New Jersey NE PEUVENT SUFFIRE à relancer l’appareil financier américain. Certains de ces experts rouspètent ouvertement et déclarent qu’ils auraient dû voir plus tôt le pape de la Réserve fédérale, Alan Greenspan en personne, en expliquer à la télévision toutes les ramifications financières. Bien sûr, certains supposent que les Américains vont paniquer et perdre tout contrôle. Ainsi donc, on nous traite comme des gosses, ni plus ni moins.

[10] Ce serait une grave erreur, selon des sources sûres en provenance des renseignements américains et étrangers, de mettre toute cette tragédie sur le compte d’Osama bin Laden. Comme les lecteurs de notre site web le savent, il y a longtemps que nous avons fait remarquer que bin Laden passe pour avoir des billes dans les affaires du secteur de la construction du Mid-East américain. Ses partenaires les plus connus ? La famille de Sharon Percy Rockefeller, qui n’est autre que l’épouse de John D. Rockefeller, D., W.Va, quatrième du nom, arrière-petit-fils du fondateur du sinistre Standard Oil Trust qui avait bombardé ses propres buildings déclassés pour en accuser faussement ses concurrents. En fait, on dit que les prétendus comptes " secrets " de bin Laden, dont la Maison-Blanche a déclaré qu’elle aimerait les geler, se trouvent ou se trouvaient à la Harris Bank de Chicago, en tant que comptes partagés en commun avec la famille de Sharon Percy Rockefeller.

[11] Il faut savoir également que la famille royale saoudienne se compose de quelque cinq mille personnes, dont certaines sont pro-américaines, d’autres hostiles aux Etats-Unis. Certaines de ces personnes ont financé la guerre de l’Irak contre l’Iran, de 1980 à 1988, afin de détruire des installations pétrolières et de maintenir les prix du pétrole le plus haut possible. Les services de renseignements étrangers qui ont éventé les complots devant être perpétrés sur le sol américain sont conscients que certains des membres de la famille royale saoudienne voient, en fait, d’un très bon oeil la destruction par les Irakiens des gratte-ciel du Worls Trade et les dégâts partiels infligés au Pentagone. [Comme si la CIA américaine n’était déjà pas au courant de tout cela.]

Chaque fois qu’il y a un assassinat politique ou quelque autre événement violent, quelle est la question clé que la presse monopoliste spécialisée dans les questions pétrolières et truffée d’agents secrets ne se pose JAMAIS ? A QUI CELA PROFITE-T-IL ? Avec l’imminence d’un scandale contre la personne de Goerge W. Bush, lui et son entourage avaient tout intérêt à NE PAS empêcher ces choses de se produire. Entre autres, afin de détourner l’attention. La Maison-Blanche a de très fortes raisons de réduire les critiques au silence et à presser les gens à FAIRE FRONT AUTOUR DU PRESIDENT. Les gens à l’esprit simple, bien sûr, souvent très mal informés, ne comprennent pas comment les classes dirigeantes pourraient verser le sang de milliers, sinon de millions de personnes innocentes, dans quelque guerre provoquée, afin d’éviter d’avoir à s’occuper des apparents désastres économiques qui se produisent.

Au beau milieu de cette catastrophe " annoncée ", qui oserait maintenant montrer du doigt les gens du clans Bush comme partenaires commerciaux bien en vue de la principale cheville ouvrière du cartel américano-colombien de la drogue de Medellin, Carlos Lehder ? Ou, comment des paquets de gros sous provenant de la drogue ont acheté le coup fourré du Collège électoral de Floride et corrompu la " bande des cinq " de la Cour suprême des Etats-Unis ?

L’Amérique a bel et bien son propre INCENDIE DU REICHSTAG. Adolf Hitler avait fait incendier le parlement allemand et en avait faussement accusé ses ennemis avant de les rassembler et de les expédier dans ses camps de concentration. La Constitution des Etats-Unis aurait-elle donc été abolie ?

Vous en saurez plus d’ici peu. Ne perdez pas le contact.



Depuis 1958, Monsieur Skolnick travaille à la réforme des tribunaux. Depuis 1963, président fondateur du Comité d’Assainissement des Tribunaux, il a dénoncé nombre de cas de corruption dans certaines instances de la justice et autres, ainsi qu’une série d’assassinats politiques. Depuis 1991, il est régulièrement désigné au sein de maints comités et, depuis 1995, il est le modérateur et le producteur de l’émission d’une heure " Broadsides " (Cable TV Show, Cablecast) sur la chaîne publique Channel 21, Chicago, tous les lundis, à 21 heures. Pour tout un large échantillonnage d’articles imprimés, envoyez 5 dollars US ainsi qu’une enveloppe de format commercial [au moins 11 cm x 25 cm], timbrée (3 timbres) et libellée à votre nom à l’adresse suivante : Citizen's Committee to Clean Up the Courts*, Sherman H. Skolnick, Chairman, 9800 South Oglesby Ave., Chicago IL 60617-4870. Bureau ouvert 7 jours sur 7 de 8 heures du matin à minuit, (773) 375-5741 [DE GRACE, PAS D’APPELS DE ROUTINE]. Avant d’envoyer un fax, appelez, s.v.p.

* Comité citoyen d’Assainissement des Tribunaux.