27 janvier 2003
 
  Oui à la guerre !   Oui à la guerre anti-impérialiste 
    !
 
 
               
   Ceux qui se refusent à rejoindre ouvertement le camp de la 
  guerre anti-impérialiste sont des supplétifs de l'ordre américano-sioniste.
 
                 
   La situation mondiale est cataclysmique. La guerre généralisée que les 
  forces américano-sionistes (c'est à dire le capitalisme mondial) ont engagé 
  pour l'asservissement total de l'ensemble de la planète exige autre chose que 
  les pleurnicheries pacifistes. Comme le dit lui même Bush : il faut choisir 
  son camp. Soit nous nous rangeons du côté de ceux qui, à travers le monde affrontent 
  par les armes, par le feu les "forces du mal", soit nous nous faisons les complices 
  des tenants de la dictature marchande et nous persistons à être leur complice 
  en neutralisant le potentiel de révolte de ceux qui partout dans le monde, Europe 
  comprise, sont assassinés, opprimés et réduits à la misère.
                
   Vouloir faire croire comme le font actuellement ces douteuses organisations 
  anti-mondialisation qu'un ordre foncièrement mauvais puisse être amendé, c'est 
  se rendre complice des puissances d'argent et des structures militaro-maffieuses 
  qui mènent la planète au chaos le plus total. Les guignoleries obscènes de ceux 
  qui pétitionnent pour la paix et la taxation des profits spéculatifs ne servent 
  que les barbares qui depuis l'effondrement de l'U.R.S.S ont fait sombrer des 
  peuples entiers dans la misère noire et massacrent comme en Afghanistan, en 
  Amérique du Sud ou au Proche-Orient. Il faut offrir à tous ceux qui n'en peuvent 
  plus de cette situation intolérable les moyens politiques et organisationnels 
  propres à des mobilisations de masse conséquentes. 
                  
  En premier lieu cela implique de rompre et de dénoncer ceux qui s'attellent, 
  dès que la colère populaire risque d'exploser, à la désamorcer en organisant 
  des kermesses, des carnavals et des monômes. Il faut descendre dans la rue, 
  non pas pour supplier les salauds de ne pas être ce qu'ils sont par nature, 
  mais pour exprimer notre révolte, notre haine, le poing levé. Faire savoir à 
  ceux qui mènent le monde qu'ils sont nos ennemis et que nous nous attelons à 
  les combattre par tous les moyens.
 
 
                      
  
                        
    Dimanche 26 janvier 2003
  _________________
  NOTE de do :
  Porto Alegre est une diversion. L'ennemi étant 
    à Davos, c'est à Davos qu'il fallait aller. Comme au bon vieux 
    temps de Seattle, de Göteborg ou de Gênes, où les manifestants 
    et les émeutiers étaient sur la ligne de front. Pas à 
    l'autre bout du monde...
  Porto Alegre c'était du blabla. L'action c'était à Davos 
    !
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