JOURNAL
"Celui qui dit la vérité, il doit être exécuté."
N°77, 18 avril 2003
Le SRAS, virus de la pneumonie atypique,
a été fabriqué en laboratoire !
Selon une dépêche Reuters datée du vendredi 11 avril à 15h16 et intitulée "Le SRAS a peut-être été créé en laboratoire -expert russe" :
« Pour Sergueï Kolesnikov, de l'Académie des sciences médicales russe, la maladie semble combiner la rougeole et les oreillons, synthèse qui ne peut être réalisée qu'en laboratoire. »
Selon cet autre reportage intitulé "Sars biological weapon ?", c'est-à-dire "Le SRAS, une arme biologique ?", paru le 11/04/2003 15:13 sur le site new24.com :
« Nikolai Filatov, head of Moscow's epidemiological services, told the Gazeta daily that he thought the pneumonia was man-made because "there is no vaccine for this virus, its make-up is unclear, it has not been very widespread and the population is not immune to it." »,
C'est-à-dire :
« Nikolaï Filatov, chef des services épidémiologiques de Moscou, a dit à la "Gazeta daily" qu'il pensait que le SRAS avait été fabriqué par l'homme parce que "il n'y a pas de vaccin pour ce virus, son processus d'apparition n'est pas clair, il n'était pas très répandu à l'origine, et la population n'a aucune immunité contre lui." »
Cela fait deux savants russes disant qu'ils voient mal comment il serait possible que le SRAS n'ait pas été fabriqué par l'homme : Sergueï Kolesnikov, de l'Académie des sciences médicales russe, et Nikolaï Filatov, le chef des services épidémiologiques de Moscou.
Numérotons les arguments de ces deux spécialistes :
1°)
La nature ne peut produire un tel virus, dont l'ARN est une combinaison de celui
de la rougeole et de celui des oreillons (Kolesnikov)
2°) Il
n'y a pas de vaccin contre ce virus (Filatov 1)
3°) On
ne comprend pas comment ce virus est apparu (Filatov 2)
4°) À
l'origine, il est peu répandu (Filatov 3)
5°) La
population n'a aucune immunité contre lui (Filatov 4)
Tentons maintenant de comprendre ce que signifie chacun de ces points :
Le point 1 n'a besoin d'aucune explication, me semble-t-il.
Pour le point 3, on peut comparer, par exemple, avec le virus de la grippe. Les chercheurs savent très bien comment et où il apparaît. À tel point qu'ils peuvent chaque année prévoir ce que sera à l'avance le nouveau virus grippal et, même, faire un vaccin relativement efficace pour prévenir cette nouvelle version de la maladie. Donc, quand un nouveau virus apparaît de façon naturelle, on peut souvent comprendre son apparition. Ce qui n'est visiblement pas le cas pour celui de la pneumonie atypique.
Pour le point 4, quand un nouveau virus apparaît, il n'en apparaît pas qu'un en un seul endroit très restreint. C'est au contraire toute une population, ou du moins toute une fraction d'une population d'un virus déjà existant, qui se met à muter. Donc, si le virus SRAS était apparu de façon naturelle ; alors, dès ses débuts, il aurait été plus répandu.
Le point 5 est un peu plus difficile, d'autant plus qu'il est lié par l'un de ses deux aspects au point 2. Pour l'aspect le plus facile : si ce virus était préexistant, même très peu répandu et refusant jusque là de se répandre beaucoup, et que, pour une certaine raison encore inconnue, il se soit mis à se propager à grande vitesse, alors, il existerait forcément depuis le début quelques être humains asymptomatiques (des personnes qui n'ont pas les symptomes de la pneumonie atypique) qui auraient des anticorps leur permettant de se défendre au moins un peu contre ce virus. Ce qui semble ne pas être le cas.
J'ai
réservé le point 2 pour la fin parce que, pour comprendre
en quoi le fait qu'il n'y ait pas de vaccin contre le virus SRAS pouvait prouver
qu'il a été fabriqué en laboratoire, j'ai dû demander
des explications à un biologiste. Il m'a dit que puisque le filament
d'ARN du virus SRAS était une combinaison du filament d'ARN du virus
de la rougeole et du filament d'ARN du virus des oreillons, normalement, n'importe
quel vaccin contre la rougeole ou contre les oreillons devrait fonctionner contre
le virus SRAS (et bien sûr, c'est le deuxième aspect du point 5,
toutes les personnes immunisées par vaccination contre la rougeole ou
les oreillons devraient être immunisées contre ce virus), ce qui
n'est pas le cas !
Conclusion :
les diverses parties du filament d'ARN du virus SRAS ont été soigneusement
sélectionnées parmi les parties constituant les ARN des virus
de la rougeole et des oreillons, en
éliminant chacune de celles que les divers vaccins contre la rougeole
ou les oreillons pourraient reconnaître comme étant une signature
d'un de ces virus. Sélection extrêmement improbable que la nature
n'avait pas le temps de faire, les vaccins en question étant bien trop
récents. Comme de toute façon ce n'est certainement pas en Chine,
dans le Guangdong, que ces vaccins ont été le plus répandus,
il y avait très très peu de chance pour qu'un tel événement
aussi miraculeux se réalise précisément à cet endroit.
Donc, même si elle avait eu la possibilité théorique de
réaliser d'elle-même une telle chimère, ce qui est de toute
façon scientifiquement impossible, la nature n'en avait pas les moyens
en si peu de temps, surtout à cet endroit.
Tout ce qu'on connaît du virus de la pneumonie atypique nous amène à conclure que c'est l'homme qui l'a fabriqué par manipulation génétique. Et la seule raison pouvant expliquer que ce virus ait été conçu de façon à ce que les vaccins existant contre la rougeole ou les oreillons ne puissent fonctionner contre lui, c'est la volonté de fabriquer un virus de guerre.
Bien
sûr, de tout cela, on ne peut déduire que c'est le gouvernement
chinois qui a fabriqué ce virus de guerre et qui l'a laissé s'échapper
par mégarde. Il peut très bien s'agir d'une attaque perpétrée
contre la Chine par un autre pays ; mais, si tel est le cas, on comprend
mal pourquoi, en Chine, beaucoup de malades sont soignés dans des hôpitaux
militaires et que, de surcroît, l'accès
desdits hôpitaux militaires soit refusé à l'OMS (Organisation
Mondiale de la Santé), comme si les Chinois ne voulaient pas que l'on
sache comment ils soignent les gens. Comme si les soins qu'ils leur prodiquent
contre la pneumonie atypique étaient un secret millitaire.
Mais ne jugeons
pas trop vite, il pourrait tout aussi bien s'agir d'une attaque-avertissement
des USA contre la Chine ayant eu pour but de lui prouver que le bioterrorisme,
ça existe, et que, par conséquent, Pékin aurait tord de
trop se déclarer "contre" la nouvelle guerre du Golfe (celle
qui vient paraît-il de se terminer) avec l'alliance fRANCE-Allemagne-Russie.
Et dans ce cas, il se peut que le secret militaire entretenu par Pékin
autour de la pneumonie atypique soit seulement dû à sa volonté
de cacher la gravité de cette épidémie et son incapacité
à l'endiguer.
Tout n'est pas noir dans ce tableau
En effet, quand un laboratoire fabrique un nouveau virus, il se débrouille toujours pour insérer dans ce virus un gène de sensibilité à un médicament quelconque et à un vaccin. D'ailleurs, c'est ce que pense Sergueï Kolesnikov : « Les laboratoires de ce type fabriquent généralement des vaccins en même temps que des armes biologiques ; un antidote devrait donc être trouvé prochainement ».
Ne soyons pas trop optimistes toutefois. On va voir dans quelle mesure le gouvernement créateur du SRAS tient à son virus de guerre : s'il donne le vaccin, il perd du même coup son virus de guerre, mais s'il ne donne pas bientôt les médicaments et le vaccin, ce sera très grave pour l'humanité. Tout dépendra des pressions qui seront faites sur ledit gouvernement.
Question médicaments, les médecins de Hong Kong disent soigner correctement la pneumonie atypique dans 80 à 90% des cas avec une association Stéroïdes + Ribavarin (c'est-à-dire avec les mêmes médicaments que pour la rougeole ou les oreillons).
SIDA
Vous
pouvez examiner le dossier SIDA en section DOC
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